Thoughts of the day:
-Sartre
-Carlo Levi
-Duty
-conflicts
Ore 7.40: I stop my left hand against my cheek, I
pull the skin; I grimace at myself. People who live in society have learnt how
to see themselves in mirrors, as they appear to their friends. I have no
friends, is that why my flesh is so naked? I can do nothing more
except wait for nightfall.
Ore 9.50: Lo Stato-idolo
e dunque il segno insieme del bisogno di rapporti umani veri, e della incapacità
a istituirli liberamente - della natura sacra di questi rapporti e della incapacità
a differenziarli senza inaridirli: e il segno sopratutto del terrore dell'uomo
che e nell'uomo. Terrore di se, che ne fa la più radicata delle idolatrie, poiché
la fonte né e sempre presente, la più mostruosa perche tutta umana. Ma essa
presuppone il sensa di una assoluta identità degli uomini, e lo spavento della
impossibilita di distinguersi come persone:
il senso della massa, dell'umanità informe, ove ogni limite individuale e
arbitrario, perche gli individui non hanno confini reali. L'opposto di ciò e
l'individualismo astratto, dove e perso ogni senso di comunità, e ove non solo
lo Stato non e deificato, ma neppure esiste, poiché non esistono passioni,
Questo ateismo e altrettanto mortale di quella idolatria. Non serve essere liberi dalle passioni, ma liberi nelle passioni. Poiché
la passione e il luogo del contatto dell'individuo con l'universale
indifferenziato, e il fecondo sonno immortale, l'eterno ritorno a un indistinto
anteriore - e il problema e essere se stessi, essere liberi, in questo ritorno
necessario. L'individualismo astratto, la fuga dalla passione, l'incapacità di
dormire, e aridezza.
Ore 12.30: The nausea is taking over. I am alone,
just waiting for the night to fall, slowly, just waiting.
Ore 14.45: Je
suis veule, alanguie, obscène, digérant, ballotant de mornes pensées. J'étais
de trop. Heureusement je ne le sentais pas, je le comprenais surtout, mais j'étais
mal a l'aise parce que j'avais peur de le sentir (encore a présent j'en ai
peur. J'ai peur que ca me prenne par derrière de ma tête et que ca ne me soulève
comme une lame de fond). Je rêvais vaguement de me supprimer, pour anéantir au
moins une de ces existences superflues. Mais ma mort même eut été de trop. De
trop, mon cadavre, mon sang sur ces cailloux, entre ces plantes, au fond de ce
jardin souriant. Et la chaire rongée eut été de trop dans la terre qui l'eut reçue
et mes os, enfin, nettoyés, écorces, propres et nets comme des dents eussent
encore été de trop: j'étais de trop pour l'éternité.
Ore 17.00:
L'homme est responsable. Il est condamné a être libre. C'est mal se poser le problème
de la liberté que de le poser dans l'abstrait, car nous somme toujours "en
situation" (engages dans une situation donnée et non pas disponibles), ce
qui nous oblige à choisir mais fonde notre liberté. Comme l'ouvrier a prise sur
la matière, l'homme a prise sur le réel, par l'action. L'acte authentique
est celui par lequel il assume sa situation, et la dépasse en agissant. Nos
actes, nos actes seuls nous jugent, et ils sont irréversibles; en vain
pourrions-nous invoquer de bonnes intentions, ou l'idée que nous faisions de nous-mêmes:
ce ne serait la que mauvaise foi, dénoncée par le témoignage de la conscience
d'autrui, dont l'existence même apparait comme une hantise insupportable.
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